Chile et réfugiés

Chili et refugiés
Plus de 100 réfugiés palestiniens on été accueillis récemment, dans les comunes de la Caldera, San Felipe et Recoleta. Cette action solidaire a été coordonée par le haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés et le gouvernement chilien.
Les enfants ne sont bien intégrés à la commune de la Calera, bien qu’ils ne parlent pas la même langue, ils ont su trouver des codes. Cepandant pour les parents la longue reste le principal obstacle à l’integration. C’est por cela qu’ils sont accompagné presque en permanance de traducteurs.
Le Sénat chilien a adopté une loi sur les réfugiés renforçant la réputation de l’Amérique du Sud comme étant un havre de paix pour des personnes forcées de fuir leur pays d’origine à cause de la violence ou de la persécution. La loi sur la protection de refugiés, adoptée par le Sénat, établit un cadre légal sur la protection des réfugiées au Chili et intègre les obligations de ce pays en vertu de la convention de 1951 relative au statut des réfugiés et de son protocole de 1967. Le parlement avait précédement approuvé cette loi.
Ces réfugiés viennent grossir les rangs d’une communauté palestinienne déjà forte de près 300.000 personnes (une des plus importante en dehors du monde arabe) Si dans le monde le nombre de musulmans grandit (19,2% contre 17,4% de chrétiens), le Chili reste majoritairement catholique (environ 75% de la population). Le choc des cultures sera inévitable bien que l’Etat chilien ait promis de veiller sur ces nouveaux citoyens, de respecter leur rythme, leur religion et leurs coutumes.